Heureux en amour, Stéphane Tapie partage la vie d’une certaine Marie-Laure. Avant lui, celle-ci a été mariée à Claude François Junior. S’il n’existe aucun conflit entre les deux fils de, un différend immobilier les a opposés.
En 2007, Stéphane Tapie a dit “oui” pour la vie à Marie-Laure après une première union. Tout comme lui, sa nouvelle épouse a connu les aléas de l’amour dans les bras de… Claude François Junior. Et si aucun conflit personnel n’a opposé les deux fils de, c’est finalement un malentendu immobilier qui a agité leurs quotidiens la même année. Car tandis que le fils de Bernard Tapie redécouvrait les joies de la vie à deux, l’ainé de Claude François – surnommé “Coco” – a été menacé de saisie. Une compensation des impayés de loyer de son ex-épouse. Explications. Lorsqu’ils étaient encore mariés, Marie-Laure et Claude François Junior ont décidé de louer un appartement de 220 mètres carrés à Neuilly-sur-Seine. Le bail est alors signé au nom de Madame tandis que le fils de “Cloclo” se porte caution.
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Mais en 2001, leur couple vole en éclats et le divorce est officialisé. Claude François Junior s’engage donc à verser une pension alimentaire de 6 000 euros par mois à son ex-femme et mère de ses trois filles. De son côté, elle conserve leur demeure de Neuilly-sur-Seine. Quatre ans plus tard, il cesse de verser la pension (ce qui lui vaut une condamnation de trois mois de prison avec sursis pour “abandon de famille”) , contraignant donc son ex-femme – pour qui cette somme a été l’unique revenu – de renoncer au paiement du loyer de 4 123 euros. Stéphane Tapie, marié à Marie-Laure en avril 2007 lors d’une cérémonie célébré par nul autre que Nicolas Sarkozy, alors maire de Neuilly-sur-Seine, intervient, règle les loyers et assure même l’éducation de ses trois belles-filles. Son épouse retrouve un emploi en tant que vendeuse de vêtements dans une boutique de prêt-à-porter. Nouvelle vie qui n’a pas signé la fin des problèmes : le couple a négligé les arriérés, ceux-ci s’élevant à 66 000 euros.
Bernard Tapie à la rescousse
Au total, comme l’a révélé le quotidien Le Parisien au moment des faits, Marie-Laure et Stéphane Tapie ont accumulé 87 000 euros de dettes. La Caisse des dépôts et consignations (CDC), propriétaire de l’appartement dont il a été question, demande donc un arrêté d’expulsion à leur encontre. La cour d’appel de Versailles tranche et condamne la mère de famille au règlement de sa dette locative et la résolution du bail. La CDC a, quant à elle, la tâche d’entamer le processus d’expulsion. La famille de six (Stéphane Tapie étant aussi le père de trois enfants) craint alors le pire.
Mais ce fut sans compter sur l’aide de Bernard Tapie qui assure l’ardoise de son fils en déboursant la somme de 15 000 euros. Avant de se porter caution jusqu’à 100 000 euros. Sa proximité avec Nicolas Sarkozy – rencontré dans les années 1980 et devenu, entre-temps, président de la République – interroge et suscite les rumeurs les plus folles. L’ex-député y coupe alors court : “Tout s’est passé entre avocats, il n’y a aucun lézard.”
Crédits photos : Datchary Jean-Jacques/ABACA
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