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Le “taliban américain” John Walker Lindh a retrouvé, jeudi 23 mai, la liberté, après 17 années passées en prison. Agé de 38 ans, il a bénéficié d’une libération anticipée pour bonne conduite et a pu quitté la prison de haute sécurité de Terre Haute, dans l’Indiana, un Etat du nord du pays.John Walker Lindh sera soumis à un strict régime de liberté conditionnelle pendant trois ans : ses activités sur internet seront surveillées, il ne pourra communiquer en ligne dans une autre langue que l’anglais sans autorisation, ni consulter “des contenus véhiculant extrémisme ou opinions terroristes”. Il ne pourra pas non plus voyager à l’étranger sans autorisation d’un juge.Des doutes sur ses intentionsCette liberté, même surveillée, a provoqué la colère de responsables politiques qui estiment qu’il n’a pas renoncé à l’idéologie extrémiste qui l’a mené en Afghanistan. “D’après ce que je comprends, il menace toujours les Etats-Unis d’Amérique et il croit toujours au jihad”, a par exemple estimé le secrétaire d’Etat Mike Pompeo. Le président des Etats-Unis n’a pas commenté cette libération.John Walker Lindh avait été capturé fin novembre 2001 lors de l’offensive militaire menée par les Etats-Unis après les attentats du 11-Septembre et condamné à 20 ans de prison en octobre 2002. Il avait plaidé coupable d’avoir “rendu des services aux talibans” en Afghanistan, et combattu aux côtés des insurgés, tout en assurant n’avoir pas pris les armes contre son propre pays.En 2017, la revue Foreign Policy avait cité un rapport selon lequel il “continuait à prôner la guerre sainte mondiale et écrire ainsi que traduire des textes extrémistes violents”. La chaîne NBC a aussi révélé, mercredi soir, le contenu d’une lettre écrite par John Walker Lindh en février 2015, dans laquelle il affirmait que le groupe Etat islamique faisait un “travail incroyable”.Click Here: cheap nsw blues jersey
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