L’Assurance Maladie et l’Institut national deprévention et d’éducation pour la santé(INPES) ont lancé début juin une campagne deprévention des accidents de vélo intitulée “Avélo, le port du casque c’est pas obligatoire,c’est juste indispensable“.
L’objectif de la campagne est de rappeler que le casquedevrait constituer l’accessoire systématique pour lapratique du vélo, comme il l’est pour les deux rouesmotorisées. Depuis début juin, un spottélé, une affiche et un numéro spéciald’Astrapi sont autant d’éléments poursensibiliser le grand public.
L’importance de cette protection est aujourd’huiincontestable. Lors d’une chute à vélo, latête est touchée plus d’une fois sur trois (38%) avec des conséquences pouvant entraîner desséquelles graves voire fatales. 255 cyclistes sonttués et 6 520 blessés chaque année. Faceà ces chiffres, une étude américaine a permisde souligner que le port du casque réduit de 80 % lagravité des traumatismes crâniens et de 88 % cellesdes lésions au cerveau. Malgré cet indéniablebénéfice, seuls 8 % des cyclistes françaisdéclarent avoir porté un casque lors de leurdernière sortie.
Pour les plus jeunes, pas de vélo sans casque. N’ayantpas le réflexe de se protéger le visage, latête est touchée dans 55 % des cas chez les enfants de1 à 5 ans, et dans 48 % des cas chez les 5-10 ans. Lesiège vélo est indispensable avant 6 ans, mais nedispense pas du port du casque.
Source : Communiqué de l’INPESClick Here: cheap INTERNATIONAL jersey
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